Les mots du mardi : Dieux que ne suis-je assise à l’ombre des forêts
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Présentation
19h00 à la médiathèque Georges-Delaw
Accès libre sur réservation auprès de la médiathèque
Dans cette forme légère, pensée pour être jouée en itinérance, Maxime Kerzanet s’amuse avec la langue de Racine. Il la coupe, il la remonte, il s’arrête sur un vers, il le transforme en boucle électro et il donne une modernité aux alexandrins de Phèdre. Et on chante, on arrache les pages de commentaires des livres, on écrit sur les murs. C’est totalement inédit, déroutant, le sens originel de la pièce s’efface pour s’élargir vers une profonde réflexion sur la poésie et sa transmission - et on repart en fredonnant des mots écrits il y a 346 ans.